• L'équipe de foot et de volley-ball à l'honneur.

    L'équipe de foot et de volley-ball à l'honneur.

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  • Cliquez sur ce lien Youtube : https://youtu.be/HU_z8-YzKmM

    La première édition de la remise des trophées du « Grand Prix du récit francophone » a eu lieu le jeudi 2 juillet 2015 à l'Assemblée Nationale française. Organisé par l'Association pour la Valorisation de la Francophonie, le concours récompensait deux enfants écrivains de la classe de CM2, originaires de pays francophones, qui devaient composer un récit en langue française sur un sujet donné. Les deux lauréats, une fille et un garçon, étaient élèves en Tunisie et au Liban (Mériem Boudgar et Georges Hayek). 32 pays avaient été sollicités, 16 pays avaient envoyé leur récit et 102 récits ont été sélectionnés et lus par un jury prestigieux.

    De nombreuses personnalités étaient présentes à la cérémonie de remise des trophées : des Ambassadeurs de pays francophones, Notamment S.E.M. Michel Gbézéra-Bria, Ambassadeur de la République Centrafricaine, ancien Premier Ministre, Madame Line Beauchamp, Représentante du Gouvernement du Québec au sein de la Délégation permanente du Canada auprès de l'UNESCO, Madame Christine Barbe, Présidente- directrice générale, de la Bibliothèque et des archives nationaux du Québec, Monsieur Mahaman Lawan Sériba, Directeur du comité International des jeux de la francophonie,

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    et de Monsieur Jean Louis Koffi, Directeur Général Adjoint du Comité National des jeux de la Francophonie Côte d'Ivoire.

    Les deux lauréats accompagnés, de leur maîtresse et de leur maman ont alors reçu des mains de Madame Jacqueline Nizet, la Présidente-Fondatrice de l'AVF, leur trophée, et se sont vus offrir cinq jours de visite à Paris. Ils ont visité le Sénat le lendemain.

    Quelques photos de la cérémonie sur http://www.avf-francophonie.org/galerie- photos.php

    * Le 24 septembre 2015 était lancée la seconde édition du « Grand Prix du récit francophone » à l'UNESCO, sous le parrainage de Son Excellence Monsieur Senkoun SYLLA, Ambassadeur de la République de Guinée au Japon, et en présence de nombreuses personnalités.

    Le thème retenu pour 2016 est : « Racontez l'histoire de l'amitié entre un enfant de votre âge et un animal ». La nouveauté en 2016, c'est que les écoles respectives des deux lauréats se verront remettre de nombreux livres en français pour constituer ou renforcer leur bibliothèque. Les lauréats, eux, se verront offrir, comme l'année précédente, un voyage en France avec leur maîtresse. Les 80 membres de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) sont invités à participer.

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  • Accompagnés par leur enseignante de sciences, les élèves d'EB3 se sont rendus dans les zones vertes de l'université de Balamand. L'objectif était d'observer le lien entre faune et flore. La mare, par exemple, est un immense réservoir de biodiversité où végétaux et animaux se côtoient.

     

    Que puis-je observer dans l’eau ?

    Les animaux microscopiques : petits animaux unicellulaires, crustacés planctoniques, éponges miniatures, hydres, acariens...

    Des mollusques tels que la physe et le planorbe mais aussi des vers comme la sangsue et le ver de vase.

    © C. Debray

    Les crustacés : se nourrissant la plupart du temps de
    taux : gammares et aselles souvent présentes au milieu des feuilles mortes immergées.

    Les insectes : certains ne pourront être observés qu’au stade larvaire (éphémères, libel- lules, moustiques, phryganes...). D’autres y vivent toute leur vie. C’est le cas du dytique, de la notonecte, de la nèpe qui sont de redoutables prédateurs ! Les insectes sont observables dans la vase, dans les débris végétaux immergés, nageant dans l’eau, à la surface (gerris)...

    Les amphibiens : dans l’eau vous pourrez observer grenouilles et tritons. À proximité, sous un rocher par exemple, l’alyte accoucheur.

    Les reptiles : totalement inoffensive pour l’homme vous pourrez observer la couleuvre à collier qui chasse les grenouilles.

    Les oiseaux : certains oiseaux ne viendront que pour s’abreuver ou se baigner. C’est le cas des mésanges, pinsons, merles... Peut-être croiserez vous le colvert, le héron cendré ou le furtif martin-pêcheur. Les hirondelles peuvent venir chercher sur les berges la boue essentielle à la confection de leur nid.

    Les mammifères : l’eau est le point de ralliement de tous les êtres vivants ! Certains viennent s’abreuver, d’autres en profitent pour chasser car la mare est un milieu humide qui abrite de nombreuses proies. Le hérisson partira à la recherche de limaces ou d’escargots. Au crépuscule, la chauve-souris ne cesse de faire des allers-retours au dessus de la mare en chassant les insectes. Si la mare est bien confectionnée, certains mammifères en feront même leur logis : campagnol amphibie, musaraigne aquatique... 

     

     

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  • 12/11/15

    Message envoyé aux correspondants Libanais

    Bonjour chers amis du Liban,

    Nous serons ravis d' accueillir Ziad Aplati dans notre classe.Nous avons apprécié votre  vidéo : vous avez beaucoup d'imagination.

    Voici l'histoire de Nicolas  Aplati. A très bientôt !

    Les CM1 de l'école Jean Mermoz.

    Messsage écrit par la classe et tapé par Yassine.

     

    Pourquoi Nicolas est-il aplati ?

      Lecture du texte de nos correspondants réalisée par Gabriel, Rebecca et Celina.

     

    Il était une fois,un petit garçon qui s'appelait Nicolas.Avec sa famille, il emménagea dans une nouvelle maison. Il aida son père à installer la machine à laver.Son fils se baissa pour brancher la prise électrique .Au moment où il se releva ,son père poussa le lave linge.Il hurla car le bas de son corps a été aplati.

     

    « - Nicolas , ça va mon petit ? dit le père .

    • Euh... je crois que je vais bien . Regarde! J' arrive à faire des vagues avec mes jambes, répondit Nicolas.

    • Je suis impressionné!s'exclama le père .»

       

    Après cet événement peu banal , il décida de se reposer sur son lit superposé.Il s' allongea en bas. Soudain le lit supérieur tomba sur Nicolas. Les déménageurs n'avaient pas correctement visser le lit. Ses parents et sa sœur accoururent dans sa chambre.Ils découvrirent avec stupéfaction que Nicolas était complètement aplati. Mais heureusement il se sentait bien dans sa nouvelle vie de Nicolas Aplati. Il se faufilait un peu partout: dans les magasins de jouet, chez lui sans les clés, au cinéma,dans les distributeurs de bonbons...

    Sa sœur le pliait en forme d'avion et il s'amusait à planer dans le jardin.Ses copains qui rêvaient de voler le transformaient en parachute.

    Sa famille s'habitua de plus en plus à cette situation originale.

     

    1er jet : Jeanne, Gaspard, Agathe, Djibril, Clément, Maïssane, Nohame, Yassine, Dounya, Kristen et Tom

    2ème jet : la classe entière

    Histoire tapée à l'ordinateur par : Isaac, Agathe, Djibril, Noa et Justine

     

     

     

     

     

     

     

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  • Autrefois on disait qu’il fallait trois générations pour profiter d’un olivier : le grand-père le plantait, le père le taillait et le fils récoltait les olives et faisait l’huile.

    L’olivier est taillé une année sur deux, ce qui permet aux branches de pousser la première année et à ces dernières de se couvrir de bourgeons, fleurs et ensuite fruits, l’année d’après. C’est ce qui explique le fait d’obtenir une bonne récolte d’olives une fois chaque deux ans.

    Les trois caractéristiques de l’huile d’olive extra vierge libanaise 

    1. le savoir-faire millénaire transmis de génération en génération.

    2. le positionnement géographique et climatique qui contribue à produire des olives non irriguées mais qui ne souffrent pas de sécheresse.
    3. une production extensive qui permet à l’huile de garder tout son arôme et qui exalte le goût. La production est certes de petite quantité mais bénéficie d’une grande qualité.   

     

    Les méthodes de traitement traditionnel ont tendance à disparaître…

    Les deux techniques traditionnelles d’extraction de l’huile d’olive étaient le matruf et le bequf.

    Le matruf est un détriteur-malaxeur opéré par une force hydraulique qui permet de détriter (décortiquer) les olives sans écraser le noyau.
    Quant au bequf il sert à pressurer la pâte obtenue après le détritage.

    L’opération de détritage consiste à déchiqueter la peau des olives pour récupérer l’huile. Elle se fait à l’aide de broyeurs en pierre.

    Quant au pressurage, l’opération est réalisée dans un pressoir où une pile de scroutins (où on répartit la pâte) est posée dur la maie et qui subit une pression lente et continue permettant l’écoulement du jus de presse.

    La décantation sépare par gravité l’huile qui flotte à la surface des margarines (eau de végétation et eau ajoutée en cours de traitement).

    L’olivier est de la famille des oléacées. Il existe une trentaine d’espèces différentes, dont le souri, la plus importante du Liban. Variété diffusée surtout dans le Nord du pays et au Mont Liban. Il s’agit d’une variété moyennement rustique, dont la productivité est moyenne et alternante. Dans des conditions de culture irriguée, elle entre en production dès la deuxième ou troisième année.

    Les fruits sont utilisés pour l’extraction d’une huile de bonne qualité et pour l’élaboration d’olives de table confites noires ou vertes. Le rendement en huile est moyen à élevé.

    La samakmaki est cultivée principalement au sud du Liban, produit de petits fruits et se caractérise par sa maturité tardive.

    La airouni, une variété plus sauvage à très faible rendement en huile à goût pimenté.

    La baladi est rustique et ancestrale.

    Source : http://www.gastronomielibanaise.org/index.php/2013-03-20-18-09-44/produits-du-terroir/360-l-huile-d-olive-libanaise

     

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